Concours génie en Herbe, un derby Facultés universitaires privées d’Abidjan-Université Félix Houphouët-Boigny le 5 juin 2021  

    Concours génie en  herbe de l’Organisation pour l’Harmonisation du Droit des affaires en Afrique (OHADA). Qui  des étudiants des Facultés universitaires privées d’Abidjan et ceux de l’université Félix Houphouët Boigny représenteront la Côte d’Ivoire au Tchad ? Le suspense sera fini  le samedi 5 juin 2021  à la cour commune de justice et d’arbitrage au Plateau. Cependant, les organisateurs regrettent un manque de soutien de l’Etat.  

   Les étudiants et le public sont invités à soutenir leur équipe favorite. Il s’agit de la 12 ème compétition du concours international Génies en herbe de l‘OHADA. Le gagnant du 5 juin 2021 ira représenter la Côte d’Ivoire au Tchad du 13 au 18 septembre 2021. Sont face à face, des étudiants des Facultés universitaires privées d’Abidjan et ceux de l’université Félix Houphouët Boigny. 

     Selon Touamé Déoua Stéphane, secrétaire exécutif  du comité international Génies en Herbe OHADA, « ce concours met en  valeur l’éducation » . En effet, ce sont des universités privées et publiques des pays membres de l’OHADA qui participent. Pour le secrétaire Exécutif il est  important que les étudiants soient vraiment présents de manière massive à cette 12e compétition.  Aussi, Touame rappelle que la Côte-d’Ivoire a remporté 4 fois cette compétition. Il faut noter que le concours est une double compétition : estudiantine et professionnelle. Les équipes sont constitués de 03 étudiants provenant des pays membres de l’OHADA après une sélection nationale. 

    Le comité international Génies en herbe (CIGH) organise le concours International Génies en Herbe OHADA chaque année en côte d’Ivoire. Ce depuis 2008. 

  Aussi, Aurelien Ouhiré  coordinateur national du concours fait savoir que l’État ne finance pas l’événement. « Ce sont des partenaires et les différentes écoles qui y participent qui financent l’événement ». Mais il aimerait aussi avoir le soutien de l’État vu qu’il est question de mettre en valeur le système éducatif de notre pays. 

Aïcha Ouédraogo

Lemediacitoyen.com 

Lire aussi:
Université FHB, la crise d’étudiants non-inscrits secoue

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*